Stress chez le sportif et ses conséquences somatiques et psychiques !

A bien observé le comportement de ces patients, il m’est apparu que le lien commun est le Stress.

Stress chez le sportif

Arnaud Démarre cycliste en traitement magnomega pendant le tour de France

A/ Stress et sportif

Le stress tout le monde connait. C’est un mot quotidiennement utilisé par tout le monde. Maintenant si je vous en demande la définition, vous risquez de m’apporter plusieurs réponses: modification comportementale, modification cognitive, modification métabolique, modification émotionnelle. Et vous aurez tous raison.
Le stress est un moteur pour réaliser une activité et une compétition. Il doit être bien dosé, ni trop peu ni trop plein. Or tout est sous la gouverne du cerveau! Le stress prépare l’activité métabolique utile aux muscles, l’augmentation de la fréquence cardiaque, la libération de l’adrénaline, et plus généralement l’adaptation de l’organisme à produire un effort. Le cerveau pour sa part lance ces informations au plus profond de nos cellules et reçoit en retour par effet biofeedback les informations organiques lui signifiant que notre corps se tient prêt.

Le cerveau est lieu d’activité d’ondes spécifiques : Gamma, Bêta, Alpha, Thêta et Delta. Or un cerveau doit pouvoir se mettre au repos (ondes alpha) pour pouvoir récupérer, enregistrer, et analyser les informations.
Sans mode Alpha il sera impossible de coordonner correctement un mouvement, ni même de le mémoriser; sans mode Alpha régulier impossible d’établir une statique posturale équilibrée.
Et un sportif déséquilibrer va compenser par une sur-sollicitation plus ou moins bien adapter qui va entrainer une perte d’efficacité et de force.
Il faut toujours commencer par optimiser les ondes alpha

Stress chez le sportif

Magnomega en condition pendant le tour de France : stress et blessures

B/ Les conséquences somatiques

Un déficit postural, objectivé par un test de Romberg ou de Fukuda, oblige le sujet à mettre en place des compensations : moins de souplesse ostéo-articulaire, recrutement disharmonieux des chaines musculaires, sur-sollicitation tendineuses et ligamentaires pouvant toutes conduire à l’accident en plus de l’inefficacité du mouvement.
Nous avons réalisé une étude sur des cyclistes qui est très révélatrice de ses dysfonctionnements: sur un appareil isocinétique (Cybex) nous avons mesuré l’activité fléchisseurs / extenseurs du MI et nous avons noté des écarts  jusqu’à 30% chez des professionnels. Ce cycliste, avant même sa compétition, savait qu’il n’avait:

aucune chance de gagner! premier stress
• un risque corporel! deuxième stress
• un risque d’accident! un nouveau stress
• un risque de perte de vigilance! encore un stress..

S’ajoute une mauvaise récupération, une hyper sollicitation organique avec répercussion sur les reins, foie, pancréas et rate. Notons que chez la sportive nous avons toujours objectivé des troubles ovariens (aménorrhée, dysménorrhée, tendinopathie des adducteurs ou pubalgie).
Cette liste n’est pas exhaustive, et vous pourrez très facilement la compléter en regardant vos sportifs.

C/ Approche et solution thérapeutique

C1/ approche thérapeutique

Depuis les années 1980, j’ai activement participé aux études et recherche avec les CMBP. Cette méthode globale utilise l’aspect quantique d’information cellulaire.
Toutes vos cellules sont entité vibratoire : pas de vibration (fréquence) pas de vie. Vous avez tous appris que la cellule était le siège d’échanges membranaire comme votre corps fait des échange (nourriture, assimilation, utilisation, évacuation). Vous connaissez votre rythme cardiaque et son adaptation à l’effort (premiers cardio fréquencemètres en 1985). Vous connaissez votre rythme respiration et son adaptation.
Connaissez vous votre rythme cellulaire? Vous verrez que si la réponse est simple, les études sont rarissimes. Il faut vous rapprocher de la fréquence de résonance de Schumann pour obtenir un début de réponse (7,83Hz en moyenne mathématique pour le champ magnétique terrestre premier vecteur d’information cellulaire)

Cette fréquence est comme par hasard celle des ondes Alpha.

Une cellule qui peut se mettre au repos est une cellule qui peut synthétiser l’ATP (adénosine tri-phosphorique), donc se recharger en énergie pour effectuer le travail qui est le sien (un muscle va se contracter selon la nature de ses fibres à une certaine fréquence : Gilles Cometti de l’université de Bourgogne à Dijon, a étudier cet aspect musculaire important) Pour l’activité musculaire elle va par exemple vibrer à une fréquence aux alentour de 70 Hz pour les fibres dites rapides.

Stress chez le sportif

Tests et traitement sur des sportifs.

C2/ Solution thérapeutique

Après consultation et bilan, j’utilise la techniques CMBP du Magnomega® anciennement Magnobiopulse®

1/ Relaxation Alpha en 12 pulsations / seconde

Dans tous les cas, je vous propose une relaxation de type Alpha ou psycho-tonique) qui va amener le sujet à une meilleur modulation et un renforcement des ondes Alpha (Professeur Bellossi université Rennes II ) pendant 10 à 20 minutes en fonction de l’état du sujet. Outre l’aspect relaxant de la mise en mode Alpha, cette phase en 12 pulsation / seconde apporte un relâchement musculaire global très intéressant sur les muscles posturaux qui sont des mono-articulaires profond. Elle ouvre la voie à un meilleur feedback périphérique-central.

2/ Restructuration ostéo-articulaire ou schéma corporel

Plus simplement appelé schéma corporel, cette phase d’environ 10 minutes, permet la reprise globale des chaines musculaires. Très facile à réaliser elle alterne des mouvements passifs puis contre résistance des grands groupes musculaire (membres inférieurs, trois, membres supérieurs et tête)

3/ Proprioception

L’utilisation des fréquences spécifiques du Magnomega® augmente la réactivité proprioceptive. cette action peut se faire simplement sur un plateau de type Freeman, un carré postural ou un appareil proprioceptif motorise type Imoove®.

4/ Symptomatologie

L’action cellulaire du Magnomega® permet un travail de qualité sur les lésions corporelles en mode appelé « cicatrice »; Pour qu’une cellule puisse se réparer ou cicatriser, elle doit passé par un moment inflammatoire qu’il faut réguler, puis enfin par une phase de reconstruction tissulaire.

Bibliographie sommaire :

Travaux et communications:
Docteur Baron, maitre de recherche au CNRS, hôpital Sainte Anne Paris)
Docteur Constantinescu maitre de recherche à l’institut de physiothérapie et balnéothérapie de Bucarest
Professeur Winfried Otto Schumann physicien et directeur du l’institut universitaire électrophysique de Munich
Docteur Pierre-Marie Gagey entrées du système postural fin
Henri Jean Wagner et Jean François Berthet mains libres 1984
CHU Toulouse passeport du sommeil- activité physique et sommeil, chu-toulouse.fr